INSOLITE

François YON est étudiant et ride au téléski nautique du Lac de Caniel. Pendant le confinement, il laisse parler sa créativité et sa passion pour le wake câble avec une oeuvre très spéciale. Il nous raconte comment il a fait plus bas dans cet article.

“Je m’appelle François Yon, j’ai 17 ans et je suis en classe de terminale maintenance des équipements industriels. Je viens de Fécamp une petite ville proche du Havre en Normandie. Je ride sur le téléski nautique du Lac de Caniel depuis l’âge de 10 ans. L’idée m’est venue assez tôt, j’avais 12 ans j’étais en classe de 5ème, et mon professeur d’art plastique nous avais demandé de réalisé dans une boîte à chaussure, tout ce qui pouvaient représenter notre passion, alors à partir de roue camion en LEGO j’ai essayé de faire à peu près quelque choses qui renvoyait l’image d’un téléski nautique. Ça ressemblait à tout sauf un téléski nautique mais le petit bonhomme tracté faisait le tour de la boîte j’étais plutôt content du résultat. Je me suis alors pris de passion pour ça et c’est là que j’ai commencé à me lancer dans la fabrication de téléski en lego. Les premiers que j’ai fais étaient des bi poulie, j’essayais toujours d’améliorer la structure des pylônes. J’essayais entre temps de réaliser des 5 poulies, mais je n’arrivais pas à faire des pylônes en lego qui supportait de l’élasticité, les pylônes tombaient sans arrêt. C’est cette année grâce à des cours de construction au lycée, et en assemblant différentes pièces, que j’ai sû donner une forme assez similaire aux vrais pylônes, j’ai commencé par dessiner un pentagone avec les distances que je voulais entre un tel et un tel virage, grâce à ces cours j’ai sû aussi utiliser des formules pour calculer les distance entre l’endroit ou le pylône est posé et l’axe vertical de sa poulie. Une fois les pylônes montés et le fil élastique en guise de câble, le téléski tournait. j’ai eu la chance que lego ont une pièce qui allait parfaitement avec l’écartement qu’il y’a entre le câble du haut et celui du bas, pour faire la jonction du câble. C’est la patience et la passion pour le téléski durant mes 6 ans de rides qui m’ont permis de réaliser cette maquette.”